Les vidéos des rencontres d’Angoulême

Actualités Les vidéos des rencontres d’Angoulême Les vidéos des rencontres professionnelles organisées par le SnacBD lors du festival d’Angoulême 2018 sont disponibles : “Et pour ça je me fais payer comment ?” la pluri-activité.https://www.youtube.com/watch?v=Cbg7QKQTPrs “Quel sera l’auteur·trice de bande dessinée de demain ?” l’avenir des auteurs de bande dessinée, avec Maliki, Becky et Boulet. Animé par Denis Bajram.https://www.youtube.com/watch?v=lVgRJflSg84 “La chaine du livre : de l’auteur au lecteur”https://www.youtube.com/watch?v=KeDsV6nTPVc

BD : Le contrat d’édition type du SEA

Actualités BD : Le contrat d’édition type du SEA Redéfinir les enjeux de chacun Ce 12 octobre 2017, le SEA a présenté un nouveau modèle de contrat d’édition (cliquez pour accéder), fruit de la décision des éditeurs et éditrices membres du syndicat des éditeurs alternatifs de circonscrire un contrat à leur métier d’éditeurs de livres physiques et de rééquilibrer la relation avec les auteurs. « Le principe général de ce nouveau contrat est d’affirmer que l’éditeur/éditrice et l’auteur/autrice sont liés équitablement. Chacune des parties pourra ainsi, si elle le souhaite, rompre le contrat au bout de dix ans. Les droits numériques et les droits dérivés ne seront pas cédés par l’auteur ou l’autrice dans le cadre de ce contrat. Enfin, un effort de simplification et d’intelligibilité a été apporté à sa rédaction », affirme le SEA.  Un nouvel accord entre auteurs et éditeurs : la coopération est prolongée Ce modèle de contrat a été discuté avec par le Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs (SnacBD). BD : Syndicat des Éditeurs Alternatifs, « une vision responsable » face au BEDEF Pour les droits audiovisuels, quand le cas se présente, « je dis toujours aux auteurs que s’ils ont trouvé que nous faisions un bon travail, ils peuvent nous mandater et définir la rémunération que nous percevrons. Dans le cas contraire, ils traitent avec qui ils souhaitent ». Une approche plus vertueuse ? « Non, simplement plus honnête et plus juste. L’auteur doit comprendre ce qu’il lit, sans l’aide d’un avocat.»

BD Maison Fumetti Nantes : mercredi 10 janvier à 19h00

Actualités BD Maison Fumetti Nantes : mercredi 10 janvier à 19h00 Le Snac souhaite relayer le message de la Maison Fumetti Le marché de l’édition se porte bien, alors que les auteurs sont de plus en plus pauvres (article renvoyant vers l’étude complète des états généraux de la BD ici). Outre le travail de fond réalisés par des syndicats d’auteurs, et parce que c’est la période des grands rendez vous professionnel (Montreuil et Angoulême), des auteurs s’organisent et réfléchissent aux moyens de faire bouger les choses. Des initiatives ici ou là sont apparus… Pour toucher un public le plus large possible, La maison Fumetti organise un rendez vous physique, pour échanger sur ces questions entre auteurs (scénariste, illustrateurs, auteurs de BD, photographes…) et en présence de représentants d’associations d’auteurs. Ni réunion d’information, ni assemblée générale, mais un peu des deux, il vous est proposé de venir à Maison Fumetti le mercredi 10 janvier à 19h00. MAISON FUMETTI – 6 COUR JULES DURAND – 44000 NANTES Si vous comptez venir il faut prévenir les organisateurs

Éditer une BD avec l’aide d’un financement participatif – Un entretien avec Christophe Ansar, co-auteur avec Jean-Louis Rodriguez et Silvio Luccisano de l’album BD Gergovie, la victoire.

Actualités Éditer une BD avec l’aide d’un financement participatif – Un entretien avec Christophe Ansar, co-auteur avec Jean-Louis Rodriguez et Silvio Luccisano de l’album BD Gergovie, la victoire. Bulletin des Auteurs – Comment le financement participatif vous a-t-il permis de vous émanciper de votre éditeur ? Christophe Ansar – Les relations avec notre ex-éditeur, chez qui nous avions publié Alésia, étant devenues pénibles, pour créer Gergovie la victoire nous avons décidé, Silvio Luccisano, Jean-Louis Rodriguez et moi-même, de fonder une association, Gallia vetus. L’investissement total était assez important. Un bon tiers de cette somme a été avancé par plusieurs membres de notre association, ce qui a permis de démarrer le projet en finançant le dessin des planches. Un prêt bancaire nous a aidés à régler le coloriste Hugo Poupelin ; restait l’impression. Certes, nous avons obtenu une subvention de la commune de La Roche-Blanche, utile mais insuffisante, aussi nous nous sommes tournés vers le financement participatif via Ulule. Sur une campagne de 70 jours, nous avions fixé un plafond de 3500 euros dans l’espoir d’en avoir plus, ce qui fut fait. Plusieurs contreparties étaient proposées aux contributeurs, allant de 20 € à 300 € avec deux versions de l’album, normal et collector. En quatre jours l’objectif était atteint et la campagne a continué. Nous avons pris soin d’animer l’offre, en dévoilant, par exemple, la couverture au cap des 100%, en offrant des ex-libris à celui des 150%. L’usage de Facebook et de Twitter a donné des impulsions, les derniers jours de souscription ont connu une nette poussée. Au final, nous avions atteint 8105 euros et 231 % de notre objectif. Ulule a prélevé 8% du total avant de nous reverser le reste. Restait un gros travail, celui de préparer les albums et de les envoyer aux contributeurs. C’est une tâche ardue, fastidieuse et chronophage, qui, avec 186 souscripteurs, s’est étalée sur plus de 4 mois. Le financement participatif, ce n’est pas que des chiffres c’est aussi adhérer à un projet, vouloir le soutenir. L’impression, à 5000 exemplaires, et 550 albums collector, nous est revenue à 11500 euros. L’album a été imprimé en quadrichromie et fabriqué en France sur du papier Vosgien. Nous sommes fiers de ce produit et le public est sensible à cette qualité. Aujourd’hui, après six mois de ventes, les sommes avancées ont été remboursées. Le statut de l’association nous permettra de toucher des droits d’auteur qui seront plus importants que ceux que nous versaient les autres éditeurs. B.A. – Comment êtes-vous diffusés et distribués ? Ch. A. – Nous avons choisi un diffuseur, Makassar, qui prend 60% sur le prix du livre, pourcentage qui inclut la diffusion, à hauteur de 10%, la distribution, qui représente 20%, et la part libraire pour 30%. Dans le commerce, l’album est vendu 17 euros TTC. Le diffuseur nous reverse donc 6,40 euros par album vendu. Les albums collector, numérotés et qui ne seront pas réédités, ne sont pas commercialisés, ont un numéro ISBN, mais pas de code-barres, et sont vendus par nos soins, lors de la rencontre avec le public sur festivals BD. B.A. – Aviez-vous signé, en amont, une convention initiale entre auteurs ? Ch. A. – Nous nous connaissions, pour avoir déjà travaillé ensemble, et nous avons fonctionné sur la confiance. Cela a été une aventure humaine avant tout. Nous nous sommes préoccupés d’écrire un contrat équilibré avec l’éditeur et entre co-auteurs. Le Snac nous a aidés à rédiger ce contrat, notamment dans la perspective d’un nouvel album. Les charges de travail n’étant pas les mêmes, la clef de répartition y est établie en proportion. Mais les termes du contrat sont identiques pour chacun, et la clef est transparente. B.A. – Signerez-vous encore avec un éditeur classique ? Ch. A. – Le public intéressé par l’Histoire est assez fidèle et pourra nous suivre dans une autre aventure. Nous sommes libres de nos choix éditoriaux et cela n’a pas de prix. Il y a d’autres projets, des institutions s’intéressent à nous. Je ne vois pas quels avantages pourraient nous offrir un éditeur classique. Nous nous inscrivons dans une nouvelle tendance d’émancipation, qui va s’affirmer, grâce aux nouvelles technologies. (Cet entretien est paru dans le Bulletin des auteurs n°129, en avril 2017) Couverture GERGOVIE la victoireCrédit : Luccisano – Ansar – Rodriguez – Poupelin / GALLIA VETVS 2016

MARCHE POUR LA CRÉATION – Discours de samedi 31 janvier 2015.

Actualités MARCHE POUR LA CRÉATION – Discours de samedi 31 janvier 2015. « Cher(e)s ami(e)s, Cette marche, nous l’avions prévue il y a déjà plusieurs mois, pour dénoncer la précarité grandissante et alarmante dans laquelle se trouvent de nombreux auteurs de BD. Mais avant d’en revenir à ces préoccupations profondes, et suite aux récents évènements qui ont bouleversé le pays, il est évident que si nous sommes réunis aujourd’hui, c’est aussi pour rendre un hommage aux victimes des attentats des 7 et 9 janvier. A toutes les victimes bien entendu, mais plus particulièrement, puisque nous sommes aujourd’hui à Angoulême, aux journalistes et caricaturistes de « Charlie Hebdo », parmi lesquels beaucoup d’entre nous comptaient des ami-e-s proches. Car comme l’ont prouvé les Grands Prix d’Angoulême remis par le passé à Reiser, Pétillon, Wolinski ou Willem, les liens entre Bande-dessinée et Dessin de Presse ont toujours été forts et nombreux : et si nos manières de travailler sont différentes, nous appartenons bien à la même famille. C’est pour eux tous que nous avons donc une pensée particulière aujourd’hui : pour les survivants, qui n’ont maintenant plus d’autre choix que de réapprendre à vivre malgré l’onde de choc de ce drame; et pour les disparus : Cabu, Wolinski, Charb, Tignous, Honoré et tous ceux qui ont été tuées juste parce qu’ils travaillaient à Charlie Hebdo et qu’ils y « dessinaient et imprimaient des petits bon-zhommes avec des gros nez ». Et il y a d’ailleurs là une situation suffisamment absurde et tragi-comique pour être soulignée : il a fallu que des terroristes s’en prennent à des caricaturistes pour qu’on se rappelle que dessiner n’était pas si anodin. Et à l’heure où, dans notre profession, certains se prennent à douter, se demandent si ce qu’ils font a un sens, s’il y a encore le moindre intérêt à faire nos « petites cases à la con », nos « petites BD », tout seul dans notre coin, ces meurtres constituent une violente et aberrante piqûre de rappel : il faut croire que dessiner peut parfois avoir du poids, puisqu’on peut se faire tuer pour ça. Bien sûr, ça ne fait pas des auteurs de « Charlie-Hebdo » des super-héros, des saints ou des martyrs, et ça fait encore moins de tout dessinateur de BD un résistant ou un militant engagé – et non, effectivement, les « Aventures de Rififi le Canard » ne sont pas toujours un brûlant pamphlet lancé à la face du Pouvoir) : mais, tout de même, oui, il faut croire que s’exprimer par le dessin doit avoir un tout petit peu de sens, puisque des milliers de personnes, en France et dans le monde entier, ont brandi des crayons lors des manifestations des 10 et 11 janvier. Or le paradoxe absolu de cette situation, c’est qu’alors même que l’on voit fleurir partout les preuves d’un puissant attachement au dessin, à la liberté d’expression et à la culture, notre profession se porte mal, nous obligeant aujourd’hui à manifester notre colère. Il y a presque 40 ans, il a fallu que les auteurs et artistes « descendent dans la rue » pour être entendus et pour que l’État crée un régime de sécurité sociale adapté à leurs réalités. Il a fallu insister encore – et pendant des années – pour que les auteurs bénéficient en 2012 du HYPERLINK « http://amac-web.com/wp-content/uploads/formation_professionnelle_AFDAS.pdf »droit à la formation professionnelle continue, alors même que ce droit est reconnu pour tous les français – et depuis bien longtemps – par la Constitution. Mais, au terme de ces avancées sociales durement acquises et alors que le marché du livre connaît une crise importante, une lettre du président du Conseil d’Administration du RAAP a provoqué HYPERLINK « http://www.snapcgt.org/article.php3?id_article=369″l’incompréhension, et la HYPERLINK « http://www.huffingtonpost.fr/christophe-arleston/retraite-auteurs-de-bande-dessinee-lettre-ouverte-a-la-ministre-de-la-culture_b_5478772.html »colère dans toute la profession, auteurs et artistes confondus. Cette lettre du 5 mai 2014 annonçait une réforme du régime de retraite complémentaire obligatoire, dont les modalités, décidées sans concertation avec les auteurs, reviendraient à nous retirer chaque année l’équivalent d’un mois de revenus – alors même que l’immense majorité des auteurs gagne moins que le SMIC. Depuis cette date, les auteurs et artistes – et en particulier ceux du groupement Bande-Dessinée du Syndicat National des Auteurs et Compositeurs – se sont mobilisés et ne cessent de dénoncer un dialogue à sens unique : car le Conseil du RAAP ne nous entend pas, annulant même les dernières réunions prévues, ce qui nous semble pour le moins irresponsable alors même que notre mouvement ne faiblit pas, bien au contraire : il prend de l’ampleur. C’est pourquoi nous nous tournons aujourd’hui vers Le Président de la République, Monsieur François Hollande. Nous vous demandons, Monsieur le Président – ainsi qu’à Madame Marisol Touraine, Ministre des Affaires Sociales – de prendre vos responsabilités et de négocier avec les véritables partenaires sociaux : les organisations représentatives des auteurs et artistes ! Nous vous demandons d’intervenir pour qu’une réelle concertation s’établisse avec des interlocuteurs pertinents et prêts à avancer avec nos représentants. Nous ne remettons pas en cause le principe de la proportionnalité, mais le taux trop élevé – de 8% – choisi sans concertation, qui est irréaliste, inacceptable et contre-productif au vu des revenus moyens de l’ensemble de la profession. Monsieur le Président, faut-il vous rappeler que les auteurs et les artistes, outre leur importance symbolique et culturelle, sont aussi à l’origine d’une richesse économique qui confère à leur secteur la troisième place de contributeur au PIB, devant l’industrie automobile ? Faut-il aussi vous rappeler que les artistes et auteurs ne pèsent rien sur l’assurance chômage – puisque nous n’en bénéficions pas – et pas plus sur les comptes de la Sécurité Sociale et de l’Assurance Vieillesse ? Monsieur le Président, cette marche des auteurs pour la création, vous devez le comprendre, n’est qu’une des premières démonstrations d’un mouvement social inédit pour une profession pourtant réputée individualiste et désorganisée, mais aujourd’hui mobilisée et déterminée. Il est désormais de votre responsabilité de faire, en lien avec le Ministère de la Culture, le

[BD] LA MARCHE DES AUTEURS – Angoulême (31 Janvier 2015)

Actualités [BD] LA MARCHE DES AUTEURS – Angoulême (31 Janvier 2015) La Marche des auteurs du samedi 31 janvier, ayant réuni plusieurs centaines de personnes lors du dernier festival d’Angoulême, a été un franc succès. Cette mobilisation sans précédent témoigne de l’engagement des auteurs de Bande-dessinée, du travail effectué par le SnacBD et les autres représentants d’auteurs et commence à porter ses fruits. Trouvez le document complet fjsdklfjqslmf La ministre de la Culture et de la Communication, ainsi que celle des Affaires Sociales, ont adressé un courrier à l’attention du Président du RAAP, M. Frédéric Buxin lui rappelant qu’il était nécessaire de poursuivre un travail de concertation et que cette démarche devait conduire à un consensus le plus large possible. La ministre de la Culture, Mme Fleur Pellerin, s’est aussi engagée à relancer le processus de concertation et d’échanges sur la réforme du régime de base de la Sécurité sociale des auteurs (AGESSA, MDA…). Trois rendez-vous sont d’ailleurs prévus pour le CPE (dont le Snac fait partie) les 2 Mars et 3 Mars avec le ministère ASF et le ministère de la culture sur ces questions de la reforme sécu et du RAAP. La presse s’est largement fait l’écho du mouvement lancé à saint Malo au mois d’octobre 2014, relayé par les auteurs jeunesse à Montreuil, poursuivi et amplifié à Angoulême en ce début 2015… En attendant les prochaines actions dans les mois à venir ? Les auteurs sauront se mobiliser à nouveau si nécessaire. Les avancées et les promesses doivent rapidement être traduites en actes. – Le président et derrière lui tout le conseil d’administration du RAAP ne doivent pas rester campés sur l’application d’une réforme en janvier 2016, au taux de 8 %, en prétextant une injonction européenne et ministérielle. – La réforme du régime de Sécurité Sociale (disparition de la notion affilés /assujettis, appel général des cotisations retraites pour tous les créateurs, création d’un organisme unique à la place de la MDA et de l’AGESSA…) est source d’inquiétudes. Trop d’incertitudes demeurent aujourd’hui malgré les propos se voulant rassurants de notre ministre de tutelle. La concertation annoncée doit lever les doutes et clarifier les positions pour que cette réforme se fasse en améliorant les dispositifs de protection sociale des artistes auteurs et non en les dégradant. – La question des revenus des auteurs (avances, droits numériques, harmonisation des pourcentages dans l’édition jeunesse…) se pose encore. Elle est même, plus que jamais, au cœur des débats. – Les menaces de la Commission européenne et de son président Jean-Claude Juncker sur le droit d’auteur, le projet de rapport demandé par le Parlement européen à Julia Reda (eurodéputée du parti pirate) remettant en cause certains des fondamentaux du droit d’auteur, nécessitent une mobilisation totale et à court terme puisque dans les 6 mois, des projets de réformes risquent d’être déposés devant les instances européennes. Ne lâchons rien, restons vigilants et mobilisés ! Le SnacBD. SNAC BD – Les États Généraux de la Bande Dessinée – DGMIC – Autres liens : L’article d’ActuaLitté sur la réforme des retraites – Me La Ministre Fleur Pellerin s’exprime (à 7mn30) lors de la Cérémonie de remise des Prix du FIBD – Aux EGBD (à 01h46) le message de Nicolas Georges du Ministère de la Culture, DGMIC – La Marche des auteurs dans les médias : La Galerie de photos sur Facebook – Le Monde – 20 Minutes – Le Figaro – LivresHebdo – Actualitte – ActuaBD – BDEncre – Quelques articles concernant le rapport REDA : Le Communiqué du SNAC – Politis – La quadrature – IRMA – Le Monde Économie – Actualitte – idboox – april – Numerama –

MARCHE DES AUTEURS – Soyons tous mobilisés !

Actualités MARCHE DES AUTEURS – Soyons tous mobilisés ! Vous êtes libraire, pour vous c’est ici ! Vous êtes journaliste/presse/médias, pour vous c’est ici ! Chers Auteurs et chers lecteurs, Le meilleur moyen de soutenir la manifestation « la marche des auteurs» reste évidemment de pouvoir vous y rendre. Celle-ci aura lieu le Samedi 31 Janvier à 14h30. Départ prévu au « monde des bulles » sur le champ-de Mars ; après un passage devant l’espace Franquin et l’espace paraBD (les halles), elle se terminera devant la Mairie d’Angoulême vers 15h30 avec une courte prise de parole des auteurs. Nous sommes bien conscients que tout le monde ne pourra pas être là. Voici donc une action que le SnacBD propose aux auteurs et lecteurs absents le jour J : Comme vous le savez tous, la bande dessinée, ce n’est pas que trois jours par an à Angoulême, aussi nous vous proposons, avec le concours des libraires volontaires (que nous souhaitons nombreux) de vous rassembler par ville/par librairies le Samedi 31 Janvier, et de prendre une photo commune dans votre librairie (ou ailleurs si vous n’avez pas de librairie accueillante). Munissez-vous d’un carton/pancarte «nous soutenons la marche des auteurs » et, si possible, convoquez-y la presse locale. Ce sera l’occasion d’aborder les problèmes que les auteurs rencontrent (reforme RAAP en tête – un document sera mis à votre disposition par le Snac BD) mais aussi, pour chaque « groupe » ainsi constitué, de prolonger les réflexions ensemble (débats, discussions , etc. ) – À chacun d’entamer la réflexion sur ce sujet. Le SnacBD a envoyé un mail à 200 libraires pour les prévenir de cette action mais tous ne seront pas au courant , n’hésitez pas à leur en faire part, en contactant le snacbd (info@syndicatbd.org) ils pourrons recevoir les infos, l’affiche et le tract de cette opération. Vous avez fait bouger les lignes en Juin avec la lettre ouverte, et en Octobre avec le débrayage de St Malo. Dans ce contexte difficile de concertations figées, les rapports de force se profilent. Cette manifestation est un point d’orgue très important de notre mobilisation, et elle sera déterminante pour les actions et discussions à venir. Soyons donc tous MOBILISES et SOLIDAIRES ! Merci ! Le Snac BD.